Peinture
Pierre Lamalattie — Prix Nicole Miel de Fommervault 2024
Le dessin est puissant et les personnages vivent pleinement dans ces compositions consacrées à l’être humain.
Boris Garanger — Prix Jean-Yves Ferrer 2024
Forte est la présence de ces personnages au visage cependant masqué pour la plupart, qui se dérobent au regard et acteurs de la vie quotidienne, de ses mystères.
Juan Carlos Zeballos Moscairo — Prix Marin 2024
Voici une écriture singulière, abstraite et cependant parlante malgré l’absence d’images. La vie est partout, ardente, exprimée en un tracé nerveux dans un désordre qui n’est qu’apparent.
Le tracé dynamique par lequel les lignes, les traces s’enchaînent ou se répondent est porteur de souvenirs ou peut-être un hommage à la nature. L’artiste travaille une matière épaisse, les traces vigoureuses, visibles de la brosse en témoignent.
Jean-Jacques Lapoirie — Prix Paul Ambille 2024
D’une grande légèreté, sensible, cette œuvre, dans sa singularité, s’apparente parfois à l’écriture.
En des techniques variées : panneaux de bois aggloméré, pâte à papier, dessin, l’artiste, parti de la réalité, s’en évade selon sa réflexion, son imagination. La création permet toutes les directions possibles, toutes les interprétations de la pensée ou de la réalité. Cette œuvre s’en fait le témoin.
Loran Guillot — Prix Jean-Roch Sauer - Raphaël - Sennelier 2024
Au premier regard, une sorte d’anarchie apparaît dans cette peinture d’une force évidente, énergique.
Théophile Noyer — Prix Albert Maignan 2024
Architecte de profession mais également peintre, cet artiste semble fasciné par les ruines, ce qu’elles nous révèlent du passé, comment elles s’inscrivent dans le paysage.
D’une rare élégance, d’une grande finesse, silencieuses, ces peintures à l’intense poésie sont à mi-chemin entre vérité et imaginaire ; c’est un pont surplombant une rivière, un bâtiment isolé dans la nature sous un clair de lune ou un théâtre imaginaire, autant de thèmes que Théophile Noyer se réapproprie dans le but de s’interroger sur la place des projets urbains par rapport à l’intérêt général.
Nadine Ringuedé — Prix Joël Dabin 2024
Construite dans une palette chaleureuse, cette peinture abstraite, lyrique, confirme que malgré l’absence de figuration, l’émotion est présente, en partie suscitée par la couleur.
Erika Negro — Prix Eddy Rugale Michailov 2024
Intimiste, cette œuvre joue sur les contrastes de l’ombre et de la lumière qui créent une atmosphère de silence.
Des portes ouvertes dévoilent d’autres espaces, des perspectives dans la pénombre, évoquent des « paysages internes », parlent de l’humain alors qu’il est absent de ces lieux et cependant si intensément présent dans un atelier vide ou un « séjour intellectuel ». Erika Negro exprime sa réflexion sur la vie en des compositions le plus souvent dépouillées et dans lesquelles le reflet semble primordial.
Charlotte Barrault — Prix Eddy Rugale Michailov 2024
Chanter la beauté des fleurs, traduire leur poésie dans la liberté de l’expression, cette œuvre dépasse la représentation, invite à la méditation.