Gravure
Carole Texier — Prix Taylor (dessin) 2016
Avec une intéressante liberté Carole Texier révèle un style elliptique dans ses gravures au burin tout en respectant l’essentiel.
Didier Hamey — Prix Marie et Léon Navier 2016
Singulière et poétique cette gravure qui réunit le monde animal et végétal, un cabinet de curiosités selon l’artiste, et c’en est un en effet.
Christiane Vielle — Prix Kiyoshi Hasegawa 2016
Les paysages abstraits, lyriques exécutés à l’eau-forte résultent d’une nature mémorisée gravée avec une liberté absolue.
Catherine Gillet — Prix Paul Gonnand 2016
Lentement, avec précision ce graveur creuse son sillon dans le métal avec son burin ignorant l’issu de son dessin. Il faut une vraie passion pour pratiquer cet art minutieux et incertain.
Fraîcheur, liberté, émotion caractérisent le travail de Catherine Gillet qui dit vouloir restituer « les traces du temps sur le vivant ». La lecture de ses gravures n’est pas toujours aisée ; ce sont souvent des fragments. La lenteur du travail au burin permet réflexion, méditation car cette petite pièce à manier avec précaution sur le cuivre traduit évidemment la pensée transmise par la main.
La taille et le crayon
FEMMES GRAVEURS ? ou GRAVEUSES ? ou GRAVEURES ? Quoi qu’il en soit, « La Taille et le Crayon » a constaté que les femmes sont de plus en plus nombreuses à pratiquer la gravure, soit seules, soit dans des ateliers collectifs, soit pour des galeries soit dans l’enseignement… Il est apparu opportun de refléter l’importance de cette évolution.